David McCae n’aime que les grandes villes, en particulier New York. Il doit pourtant se rendre en Alaska pour interviewer un type qu’il déteste d’emblée. Ce n’est que le début du terrifiant séjour de ce citadin perdu en pleine nature.
Certains auteurs choisissent d’écrire un roman qui se déroulent aux États-Unis, d’autres empruntent aux romans américains leurs personnages. Ce sont ces romans-là, ces romans américains écrits par des auteurs qui ne le sont pas, qui sont ici regroupés sous le mot-clé « à l’américaine ».
Tout un été sans Facebook de Romain Puértolas
J’ai tenté et échoué à nouveau. Décidément, l’humour de Romain Puértolas n’est pas pour moi : lourdingue et maladroit, il ne parvient jamais à me faire rire, juste à m’agacer un peu…
Le gang des rêves de Luca di Fulvio
Grand plaisir de lecture en lisant les destins d’une mère et son fils, immigrés italiens dans le New York des années 20 : de beaux personnages et une foultitude de détails qui nous les rendent familiers.
Big Daddy de Chahdortt Djavann
Les amateurs de romans noirs très noirs apprécieront ce roman atypique dans la production de l’écrivain d’origine iranienne Chahdortt Djavann.
Coup de froid de Patrick Delperdange
Peter s’arrête boire un coup dans un bar à péquenots où il rencontre Nick. Très sympa ce Nick qui l’invite chez lui et le laisse seul avec sa femme. Ou sa belle-sœur peut-être, allez savoir…
Les Anges de New York de R J Ellory
Frank Parrish, flic au 126e district, South Brooklyn, a salement été amoché par la vie : divorcé, alcoolique, il est en sursis au commissariat et contraint de suivre une thérapie quotidienne. Parallèlement à son enquête sur des meurtres de jeunes adolescentes, il va donc raconter sa vie et surtout son père, le grand John Parrish multi-décoré, que lui seul savait corrompu.