Roman extrêmement ennuyeux sur la vie sentimentale et professionnelle d’une universitaire pseudo américaine.
Certains auteurs choisissent d’écrire un roman qui se déroulent aux États-Unis, d’autres empruntent aux romans américains leurs personnages. Ce sont ces romans-là, ces romans américains écrits par des auteurs qui ne le sont pas, qui sont ici regroupés sous le mot-clé « à l’américaine ».
Terres fauves de Patrice Gain
David McCae n’aime que les grandes villes, en particulier New York. Il doit pourtant se rendre en Alaska pour interviewer un type qu’il déteste d’emblée. Ce n’est que le début du terrifiant séjour de ce citadin perdu en pleine nature.
Tout un été sans Facebook de Romain Puértolas
J’ai tenté et échoué à nouveau. Décidément, l’humour de Romain Puértolas n’est pas pour moi : lourdingue et maladroit, il ne parvient jamais à me faire rire, juste à m’agacer un peu…
Le gang des rêves de Luca di Fulvio
Grand plaisir de lecture en lisant les destins d’une mère et son fils, immigrés italiens dans le New York des années 20 : de beaux personnages et une foultitude de détails qui nous les rendent familiers.
Big Daddy de Chahdortt Djavann
Les amateurs de romans noirs très noirs apprécieront ce roman atypique dans la production de l’écrivain d’origine iranienne Chahdortt Djavann.
Coup de froid de Patrick Delperdange
Peter s’arrête boire un coup dans un bar à péquenots où il rencontre Nick. Très sympa ce Nick qui l’invite chez lui et le laisse seul avec sa femme. Ou sa belle-sœur peut-être, allez savoir…