A 12 ans, ce petit génie qu’est T.S. Spivet décide de traverser seul les USA d’ouest en est pour aller chercher à Washington le prestigieux prix qui vient de lui être attribué.
Je m’appelle Radar de Reif Larsen
Construction, illusion, création : voilà un très stimulant voyage qui marie science et imagination dans les pas d’un enfant noir né de parents blancs. Un imbroglio aussi, qui ne cesse de questionner le lecteur.
L’été 79 d’Hugues Barthe
Voilà plusieurs autobiographies sous forme de romans graphiques que je lis ces derniers temps, toujours avec plaisir. Après Portugal de Cyril Pedrosa et Blankets de Craig Thompson, me voilà suivant les jeunes années d’Hugues Barthe, dont je n’avais encore rien lu. Il faut croire que la veine autofictionnelle n’est pas l’apanage des seuls romanciers et[…]
La vérité sur Gustavo Roderer de Guillermo Martínez
La vérité sur Gustavo Roderer, court roman, est le troisième texte que l’on peut lire en France de l’écrivain mathématicien argentin Guillermo Martínez, mais le premier roman publié dans son pays. Le narrateur, d’abord jeune adolescent, raconte sa rencontre avec un certain Gustavo Roderer qui l’a battu aux échecs dès son arrivée au village. Il le[…]
Le cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows
J’ai l’esprit de contestation… J’aurais bien voulu, histoire de… mais je n’ai pas résisté au charme des épluchures de patates et succombé à mon tour à ce roman épistolaire. Londres, 1946. Alors que le pays se remet doucement de ses blessures, Juliet Ashton qui a écrit des chroniques durant la guerre, se voit demander un[…]